Pourtant la draisienne t'avais bien préparé.
Petit à petit, la confiance t'a gagné.
Petit à petit j'ai pu m'écarter.
Puis soudain tu t'es élancée.
Tu ne pouvais plus t'arrêter.
Rapidement tu t'es éloignée.
Et j'ai eu tellement de fierté.
Mais quand finalement tu est tombée,
C'est par les bravos de ta sœur adorée,
Que ton sourire s'est illuminé.
Maintenant tu sais pédaler.
Et à 2 roues tu peux t'en aller,
Avec toujours quelqu'un à tes côtés.
Quel joli poème d’une maman à sa petite fille... qui grandi Bravo.
RépondreSupprimermjo